Turquie : une catastrophe annoncée // Turkey : a foretold disaster

Le séisme de M 7,8 qui a secoué la Turquie et la Syrie, suivi d’une réplique de M 7,5, a rasé des quartiers entiers, avec un bilan provisoire de 35 000 morts en Turquie, un nombre qui, selon les Nations Unies, pourrait doubler.
Les experts disent que la grande majorité de ces décès étaient évitable, et ils pointent du doigt l’administration du président turc Erdogan. Plutôt que de mettre en vigueur les normes de construction définies après le séisme de 1999, le gouvernement Erdogan a laissé proliférer des structures bon marché et de mauvaise qualité à travers le pays. Il a même accordé aux promoteurs une série d’amnisties, dont la plus récente remonte à 2018.
Les zones de Turquie les plus vulnérables aux tremblements de terre sont bien connues et les bâtiments conçus selon les dernières normes parasismiques auraient dû résister à des secousses de cette ampleur. Ces normes précisent que les structures doivent incorporer des colonnes et des poutres en béton armé et bien réparties. L’effondrement de nombreux bâtiments sous l’effet des dernières secousses a démontré à quel point ces normes ont été ignorées.
Alors que des millions de bâtiments ont été déclarés salubres rétrospectivement, d’autres ont été approuvés par les autorités même lorsqu’ils ne répondaient pas aux normes modernes. D’autres encore ont été réalisés avec des techniques de construction défectueuses qui n’auraient pas dû être validées.
La politique de la Turquie face aux séismes contraste fortement avec celle du Japon, qui a très tôt adopté des réglementations strictes en matière de construction parasismique, avec des méthodes de conception innovantes. Aujourd’hui, de nombreux citadins au Japon ne sont pas inquiets quand se produit un tremblement de terre.
La région de Turquie qui a été touchée par les deux séismes abrite environ 13,5 millions de personnes, parmi lesquelles quelque 2 millions de réfugiés, pour la plupart syriens. On estime à environ un million le nombre de personnes qui se seraient retrouvées sans abri. Les parcs publics sont remplis de tentes où les ONG et les services d’urgence ont distribué de la nourriture et des fournitures aux survivants. De nombreux camps de fortune manquent de toilettes et d’accès à l’eau potable.
Après avoir visité une partie de la zone sinistrée la semaine dernière, Erdogan a promis d’attribuer 10 000 lires (500 euros) à chaque famille sinistrée et de lancer une politique de construction d’urgence qui abritera tous les survivants d’ici un an. Mais les experts disent que la reconstruction en Turquie suite aux séismes pourrait prendre jusqu’à 25 ans, sans aucune garantie que ce qui est construit répondra aux dernières normes parasismiques.
Source : Yahoo News, The Telegraph.

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The M 7.8 earthquake that shook Turkey and Syria, followed by an M 7.5 aftershock, levelled entire neighbourhoods and is so far estimated to have caused around 35,000 deaths in Turkey, a number the United Nations says could still double.

Experts say the vast majority of these deaths were preventable, and they are pointing the finger at the administration of Turkish president Erdogan. Rather than enforce building rules that were put in place after 1999, Erdogan’s government has turned a blind eye and allowed cheap, poor quality structures to proliferate across Turkey, even granting developers a series of amnesties, the most recent of which was in 2018.

The areas of Turkey most vulnerable to earthquakes are well-known, and buildings designed to the specifications in updated regulations should have been able to withstand tremors of this magnitude. The rules specify that structures should incorporate steel-reinforced concrete and well-distributed columns and beams. Yet the collapse of many buildings following the latest shocks has demonstrated how widely these edicts were seemingly ignored.

While millions of buildings have been retrospectively granted amnesty, others were approved by local authorities even when they did not meet modern standards, while still more used defective building techniques that should have been eschewed..

Turkey’s response to past earthquakes stands in stark contrast to that of Japan, which has pioneered stringent building regulations and innovative design methods. Today, many city dwellers in Japan don’t worry when earthquakes strike.

The Turkish region affected by the two quakes is home to an estimated 13.5 million people, including up to 2 million refugees, mostly Syrian, with around a million people thought to have been left homeless. Public parks are filled with tents where aid workers or emergency services distributed food and supplies to survivors. Many of the makeshift camps lacked toilets and access to fresh water.

After touring some of the wreckage last week, Erdogan promised to provide 10,000 liras (500 euros) to each affected family and launch a building blitz that will home all survivors within a year. But experts say the full reconstruction effort in Turkey may take as long as 25 years to complete, with no guarantee that what is built will meet the correct standards this time either.

Source : Yahoo News, The Telegraph.

 

A la Martinique, le Centre de Découverte des Sciences de la Terre a été construit selon des normes parasismiques (Photos : C. Grandpey)

La culture de la fourrure dans l’Arctique // Arctic fur culture

Pour les gens de ma génération, le seul mot « trappeur » évoque Davy Crockett, « l’homme qui n’a jamais peur », avec son bonnet de fourrure à queue de raton laveur. Les trappeurs existent dans les hautes latitudes depuis des siècles. Aujourd’hui encore, des milliers de Canadiens et d’Alaskiens, y compris les First Nation, s’adonnent toujours à cette activité très réglementée qui fait partie de leur culture ancestrale et représente parfois leur seule source de revenus.

Un article récemment publié dans la presse canadienne et relayé par Yahoo Actualités explique la situation des trappeurs dans le pays.

Peu de gens au Canada réussissent encore à vivre uniquement du piégeage des animaux, une tradition qui remonte à 400 ans, au moment où s’effectuait les premiers échanges entre les autochtones et les explorateurs européens.
L’habitat urbain empiète de plus en plus sur les espaces naturels, ce qui réduit l’espace de vie des animaux. De plus, avec les hivers plus courts à cause du réchauffement climatique et la chute des prix des fourrures, le piégeage devient de plus en plus compliqué.
Le marché de la fourrure doit aussi faire face au boycott des marques de luxe, à l’absence d’acheteurs chinois depuis le début de la pandémie de Covid-19, et maintenant à la perte de deux marchés clés en Russie et en Ukraine depuis l’invasion de ce pays par les Russes. Bien qu’à un niveau encore trop bas, il semble toutefois que la situation se soit stabilisée.
Le Canada est le plus grand producteur de fourrures dans le monde. Quelque 415 000 peaux ont été vendues au cours de la saison 2019-2020 pour un total de 13,8 millions de dollars canadiens.
Au moment de la plus grande vente aux enchères de fourrures en Amérique du Nord, à North Bay au Canada, à environ 350 kilomètres au nord de Toronto, les courtiers vérifient les produits avant le grand événement, qui se tient en ligne en raison de la pandémie de Covid-19. Dans un vaste entrepôt, des dizaines de milliers de peaux d’animaux, parmi lesquels des lynx, des renards, des loups et des ours noirs, sont attachées en paquets suspendus à des étagères. Elles sont triées en fonction de la taille, la couleur et la qualité.
La pression croissante des militants pour les droits des animaux en Europe et en Amérique du Nord a conduit plusieurs grandes marques de luxe, telles que Dolce & Gabbana, Burberry et Chanel, à cesser d’utiliser de la fourrure animale. Le retrait de Canada Goose du commerce des fourrures a été une très mauvaise nouvelle. Cependant, la demande reste très forte et d’autres fabricants devraient combler le vide laissé par l’entreprise canadienne, qui a annoncé l’an dernier qu’elle cesserait bientôt d’utiliser des garnitures en fourrure de coyote sur ses capuches de parkas, un accessoire qui, pendant cinq décennies, a permis de garder au chaud le visage des explorateurs de l’Arctique.
L’industrie de la fourrure animale devra également faire face au manque d’accès aux marchés ukrainien et russe. Ce dernier est le deuxième au monde pour la fourrure, mais victime des sanctions économiques canadiennes et alliées. Un membre de la Fur Harvesters Auction de North Bay a déclaré : « La guerre entre l’Ukraine et la Russie est un énorme handicap parce que nos autres gros acheteurs en Grèce, Italie et Turquie vendent leurs produits manufacturés en Russie et en Ukraine, et sont aujourd’hui soumis à des sanctions. »

Je comprends qu’il est difficile pour les militants pour les droits des animaux en Europe, et particulièrement en France, de comprendre la culture du piégeage dans l’Arctique. En France, par exemple, le nombre d’animaux sauvages est extrêmement faible par rapport aux régions arctiques et leur protection est essentielle à la survie des espèces. Au Canada et en Alaska, la situation est très différente. Les animaux sauvages pullulent et le piégeage – qui est strictement réglementé – permet de contrôler leur nombre et d’éviter la surpopulation.

On trouve à Anchorage des magasins de fourrure qui proposent de superbes vêtements en peau de loup ou de renard arctique, par exemple. Au risque de choquer certains, je dois admettre que si j’habitais en Alaska, je porterais un de ces manteaux qui assurent une protection parfaite contre le froid.

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For people of my generation, the very word « trapper » evokes Davy Crockett, « the man who was never afraid » with his raccoon-tailed fur cap. Trappers have existed in high latitudes for centuries. Whether in Canada or Alaska, many natives engage in this highly regulated activity which is part of their ancestral culture and sometimes represents their only source of income.

An article recently published in the Canadian press explains the situation of trappers in the country.

Few people in the country still manage to make a living solely in the business, which dates back 400 years to the first Indigenous trades of pelts to European explorers. However, thousands of Canadians, including Indigenous people, are still active in the now heavily-regulated industry.

With human encroachment reducing animal habitats, shorter winters caused by climate change, and plunging fur prices, trapping is getting more and more difficult.

The market has been struggling under pressure from luxury brands’ boycotts, the absence of Chinese buyers since the start of the pandemic, and now the loss of two key markets in Russia and Ukraine since Moscow’s invasion. Although at a low level, it looks as if the situation has stabilized.

Canada is the largest producer of wild furs in the world, with some 415,000 pelts sold in the 2019-2020 season for a total of 13.8 million Canadian dollars.

Inside North America’s last major fur auction in North Bay, about 350 kilometers north of Toronto, brokers are busy checking out the offerings ahead of the big event, which is being held online for a third year in a row due to the pandemic. In a vast warehouse, tens of thousands of animal pelts — including lynxes, foxes, wolves and black bears — are tied in bundles hanging from racks, sorted by size, color and quality.

Growing pressure from animal rights activists in Europe and North America led several major luxury brands, such as Dolce & Gabbana, Burberry and Chanel, to stop using fur. Canada Goose’s exiting the fur trade was very bad news for the industry. However, other manufacturers are expected to fill the « void » left by the Canadian company, which announced last year it would soon stop using coyote fur trim on its parka hoods, a feature that for five decades had helped keep Arctic explorers’ faces warm.

The industry will also have to cope with the lack of access to markets in Ukraine and Russia . The latter is the world’s second-largest for fur, but targeted by Canadian and allied economic sanctions. A member of the Fur Harvesters Auction in North Bay said : « The war between Ukraine and Russia is a huge handicap because our other big buyers from Greece, Italy and Turkey., used to sell their manufactured products into Russia and Ukraine, and are subject to the sanctions. »

I understand that it is hard for environmentalists in Europe, and especially in France, to understand the culture of trapping in the Arctic. In France, for instance, the number os wild animals is extremely low compared with Arctic regions. Trapping in Canada and Alaska – which is strictly regulated – helps to control the number of wild animals and avoid overpopulation.

Le renard est un animal très convoité par les trappeurs (Photo : C. Grandpey)

Accès au versant sud de l’Etna // Access to Mt Etna’s south flank

Une ordonnance émise le 13 juillet 2017 par le maire de Nicolosi définit l’accès à l’Etna sur le versant sud de la manière suivante:

  • 1) Accès libre jusqu’à l’altitude 2700.
  • 2) Entre 2700 et 2920 mètres, l’accès ne peut se faire qu’avec l’accompagnement de guides alpins ou volcanologiques
  • 3) A partir de 2920 mètres, l’accès ne peut se faire qu’avec l’accompagnement de guides alpins ou volcanologiques, en petits groupes de 20 personnes maximum, en prenant les mesures de sécurité nécessaires (casques) et en respectant les règles de sécurité telles qu’elles ont été définies par la Protection Civile (Décret du 9 février 2013).
  • 4) L’accès au Cratère Sud-Est est interdit et les visiteurs devront respecter une distance de sécurité de 300 mètres par rapport à ce cratère.
  • 5) Le long du parcours, des panneaux rappelleront les dangers liés à cette partie du volcan. Des cordes sont installées à l’altitude 2700 pour signifier aux visiteurs qu’il leur est interdit d’aller plus loin sans accompagnement.

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An ordinance issued on July 13th 2017 by the Mayor of Nicolosi defines the access to My Etna on the southern slope as follows:

1) Free access to 2700 metres a.s.l.

2) Between 2700 and 2920 meters a.s.l., access can only be made with the accompaniment of alpine or volcanological guides

3) From 2920 meters onward, access can only be made with the accompaniment of alpine or volcanological guides, in small groups of 20 people maximum, taking the necessary safety measures (helmets) and respecting the rules defined by the Civil Protection (Decree of 9 February 2013).

4) Access to the South-East Crater is prohibited and visitors must respect a safety distance of 300 meters from this crater.

5) Along the route, panels will remind you of the dangers associated with this part of the volcano. Ropes have been installed at altitude 2700 to indicate to visitors that they are not allowed to go further without the accompaniment of the guides.

Photo: C. Grandpey

Nouveau règlement d’accès à l’Etna (suite) // New access regulations on Mount Etna (continued)

drapeau francais   Voici avec un peu plus de détails, un résumé de la règlementation mise en place sur l’Etna par la Préfecture de Catane.

drapeau anglais   Those of you who would like to read an English summary of the new regulations can visit the website of the VolcanoDiscovery travel agency at this address : http://volcanodiscovery.com/etna/access/reglementation-5-april2013.html

 

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La Préfecture de Catane a promulgué une ordonnance définissant les nouvelles conditions d’accès à l’Etna, avec effet dès le 5 avril 2013. Vous trouverez l’intégralité du texte (en italien) à cette adresse : http://www.prefettura.it/catania/news/1930934.htm

Voici un résumé des principaux articles de l’ordonnance préfectorale :

Comme je l’indiquais précédemment, une Zone Jaune englobe les cratères sommitaux et leur environnement immédiat. Sont inclus dans cette zone (au-dessus de la piste qui assure le lien entre les secteurs nord et sud du volcan) : les cratère sommitaux, le secteur de la Torre del Filosofo, le secteur de l’observatoire des Pizzi Deneri, le secteur situé au-dessous du Cratère SE jusqu’aux Monti Centenari dans la Valle del Bove.

 

L’ordonnance définit quatre niveaux de dangers et d’alerte associés en fonction de l’activité éruptive du moment.

1 Aucun danger (« Criticità Assente »). Ce niveau n’a guère d’intérêt dans la mesure où l’Etna est considéré comme un volcan en activité permanente.
 
2. Normal (« Criticità Ordinaria ») – Niveau d’alerte: NORMAL. Activité habituelle de l’Etna, sans signe éruptif au niveau des cratères (essentiellement activité de dégazage, avec possibilité de quelques explosions mineures avec des retombées qui se limitent aux cratères).
3. Modéré (« Criticità Moderata ») – Niveau d’alerte: VIGILANCE. Episode éruptif en cours avec possibilité de coulées de lave, et/ou d’activité explosive avec projections au-delà des bouches éruptives, et/ou d’émission de panaches de cendre se dispersant rapidement.

4. Élevé (« Criticità Elevata ») – Niveau d’alerte: MAXIMUM. Violent épisode éruptif en cours avec coulées de lave à partir du sommet ou ailleurs sur le volcan, et/ou forte activité explosive avec projections loin de leur source, et/ou fontaines de lave, et/ou émission de volumineux panaches de cendre, et/ou ouverture de fractures, et/ou glissements de terrain, et/ou coulées pyroclastiques.

RÈGLES DE CONDUITE À ADOPTER:

Niveau d’alerte  NORMAL : Les visites sont autorisées à l’intérieur de la Zone Jaune (y compris les cratères sommitaux et les autres limites décrites ci-dessus) uniquement en étant accompagné de personnes autorisées (guides de montagnes agréés).

Les visites libres – avec respect des règles du Parc de l’Etna – sont autorisées uniquement en dehors de la Zone Jaune, c’est-à-dire en dessous des limites définies précédemment : en dessous de la piste qui relie les versants nord et sud, en dessous de la Torre del Filosofo (2920 m) sur le versant sud, de l’altitude 2800 m (Piano delle Concazze) sur le versant nord, en dehors du secteur de la Valle del Bove compris entre le Cratère SE et les Monti Centenari sur le versant est.
Ces restrictions ne s’appliquent toutefois pas aux personnels de secours et de sécurité, à la police, à la Protection Civile et au personnel du Parc qui assure des activités de service dans ces secteurs. Ne sont pas concernés non plus les scientifiques qui travaillent dans les domaines de la Protection Civile et de la recherche ainsi que les guides de montagne et le personnel du Club Alpin Italien (CAI) autorisé par la loi.

Responsabilité des guides de montagne:

Les guides agréés assurent la responsabilité civile et pénale et doivent en premier lieu informer les personnes qu’ils accompagnent des risques volcaniques ainsi que des autres dangers dus au relief et aux conditions climatiques. Ils doivent refuser d’accompagner les personnes qui n’ont pas déclaré par écrit qu’elles étaient en bonne condition physique et psychologique et ne souffraient pas de maladies pulmonaires et/ou cardio-respiratoires, de même que celles qui, selon eux seuls, ne sont pas suffisamment équipées pour entreprendre l’excursion.

 

Niveau d’alerte VIGILANCE: AUCUNE visite ou excursion n’est autorisée, même par des personnes qualifiées, à l’intérieur de la Zone Jaune définie précédemment (Torre del Filosofo, etc).

– Des postes de contrôle seront mis en place par la Guardia di Finanza à l’altitude 2880 mètres le long du sentier qui conduit aux cratères près de la Torre del Filosofo et par le Corpo Forestale à l’intersection entre le sentier qui conduit aux cratères et celui qui conduit à l’Observatoire des Pizzi Deneri 2790 mètres d’altitude).

– Les excursions – avec respect de la réglementation en vigueur dans le Parc – dans le secteur compris entre la Zone Jaune et la gare supérieure du téléphérique (2500 mètres d’altitude) au sud et au-dessus du Monte Pizzilo (1450 mètres d’altitude) au nord se sont autorisées qu’avec du personnel autorisé tel qu’il a été défini par la loi.

– Les excursions libres ne sont autorisées que jusqu’à la gare supérieure du téléphérique (2500 m. d’altitude) au sud et pas au-dessus du Monte Pizzilolo (2500 m d’altitude) au nord.

Les restrictions ne s’appliquent toutefois pas aux personnels de secours et de sécurité, à la police, à la Protection Civile et au personnel du Parc qui assure des activités de service dans ces secteurs. Ne sont pas concernés non plus les scientifiques qui travaillent dans les domaines de la Protection Civile et de la recherche ainsi que les guides de montagne et le personnel du Club Alpin Italien (CAI) autorisé par la loi.

L’accès est également autorisé aux journalistes et photographes professionnels sous réserve qu’ils disposent d’une accréditation et qu’ils soient accompagnés de personnes autorisées telles qu’elles ont été définies par la loi.

 

Niveau d’alerte MAXIMUM: Aucune visite ou aucune excursion n’est autorisée dans quelque circonstance que ce soit à l’intérieur de la Zone Jaune ou dans la zone sommitale du volcan.

Les excursions sont uniquement autorisées dans les zones déclarées sures par décrets spéciaux issus au cas par cas.

Les restrictions ne s’appliquent toutefois pas aux personnels de secours et de sécurité, à la police, à la Protection Civile et au personnel du Parc qui assure des activités de service dans ces secteurs. Ne sont pas concernés non plus les scientifiques qui travaillent dans les domaines de la Protection Civile et de la recherche ainsi que les guides de montagne et le personnel du Club Alpin Italien (CAI) autorisé par la loi.

L’accès est également autorisé aux journalistes et photographes professionnels sous réserve qu’ils disposent d’une accréditation et qu’ils soient accompagnés de personnes autorisées telles qu’elles ont été définies par la loi.